A l’occasion du lancement du Baccalauréat, session 2021, ce lundi à Cotonou, le préfet du département du Littoral a donné des clarifications sur son dernier arrêté. Ledit arrêté à polémique fait obligation aux conducteurs et passagers des véhicules à deux roues, de porter des casques. La décision n’a pas été bien accueillie, mais Alain Orounla explique qu’il s’agit d’une question sécuritaire.
Par arrêté signé le 16 juin 2021, le préfet du Littoral rend le port de casque obligatoire, aussi bien pour tout conducteur que pour tout passager de véhicule à moteur à deux roues à Cotonou. Suite à la polémique suscitée par cet arrêté, le préfet apporte quelques clarifications. Interrogé sur cette actualité brûlante, Alain Orounla expose le bien-fondé de son arrêté.
Selon le préfet, il ne s’agit pas d’un arrêté répressif. « Le but, ce n’est pas de réprimer. Le but, c’est de rappeler que nous devons respecter la vie. Ce n’est pas un arrêté pour envoyer les gens en prison ou pour les verbaliser », a déclaré Alain Orounla, rapporté par Le Matinal. Pour l’autorité préfectorale, l’objectif, c’est de faire comprendre aux usagers qu’il est important de porter un casque en circulation.
Depuis la sortie de cet arrêté, dans l’opinion, il se dit que les Béninois traversent actuellement une situation difficile, et auront du mal à se conformer à cette décision, qui implique une dépense financière. A cette préoccupation, Alain Orounla propose une solution. « Ceux qui n’avaient pas prévu de le faire et à qui on rappelle cette nécessité de la vie, peuvent déjà commencer par économiser pour l’acheter », a-t-il suggéré.
Il s’agit d’une bonne décision. C’était déjà bizarre que celui qui conduit la moto porte son casque pendant que son passager n’en porte pas comme si le risque était plus élevé pour le conducteur que pour son passager.
Toutefois, il faut faire en sorte que des casques de qualité soient disponibles à un cout subventionné! Car tous les casques ne remplissent pas les normes de sécurité nécessaires.
Aucune activité ne marche, les gens ne trouvent même pas à manger. La population cherche à survivre, comment va-t-elle économiser si elle meurt déjà de faim ? Mais Dieu est au contrôle. Certains ont fait pire que ça sur cette terre, où sont-ils maintenant ? Le votre aussi viendra et les béninois auront le messie. Allez tous en enfer !