On en sait davantage sur les raisons qui retardent l’ouverture des marchés modernes construits à Cotonou et dans d’autres villes du pays. A la faveur de sa rencontre hebdomadaire avec la presse, le secrétaire général adjoint et porte parole du gouvernement, a levé un coin de voile sur ce qui justifie le retard dans l’ouverture desdits marchés.
Devant la presse ce vendredi 1er décembre 2023, le porte-parole du gouvernement, Wilfried Léandre Houngbédji a dévoilé les raisons du retard de mis en services des marchés modernes construits par le gouvernement du président Patrice Talon.
Selon l’ancien journaliste, dans la mise en oeuvre de ces infrastructures marchandes, un aspect a échappé au gouvernement: « le mobilier qui va être déployé ». Pour résoudre ces difficultés, des commandes ont été effectuées et d’ici là, les premiers mobiliers seront là pour être installés.
En dehors de cet aspect qui justifie le retard actuel, le porte parole du gouvernement a également fait savoir que l’agence mis en place pour s’occuper de la gestion de ces marchés travaille également au modèle économique au modèle d’entretien avec la société partenaire qui avait été identifiée.
Mais tous ces détails ne prendront pas encore beaucoup de temps rassure l’ancien journaliste. « Nous faisons en sorte qu’eux tous aboutissent et qu’au fur et à mesure, tous les marchés qui seront prêts soient ouverts avant la réalisation de la seconde phase », a-t-il indiqué.
Pour rappel, c’est l’Agence nationale de gestion des marchés (ANaGEM) qui a été retenue en conseil des ministres en sa session du 1er février 2023, pour s’occuper de la gestion de ces marchés.