Synonyme de féminité, la culotte de cheval est pourtant mal-aimée par certaines car considérée comme un peu trop voluptueuse. Voici tout ce qu’il faut connaitre sur la culotte du cheval.
Les hanches larges et la culotte de cheval sont des problèmes typiquement féminins. Et lorsque l’on tente un régime dans l’espoir de maigrir du bas, c’est plus souvent le haut qui sèche. Les causes de ce type de rondeurs sont surtout hormonales et elles sont difficiles à éliminer.
En effet, la culotte de cheval désigne un amas graisseux sous-cutané qui se localise majoritairement sur la zone du bassin et des hanches. Elle apparaît lorsque le corps stocke de manière excessive des cellules graisseuses. Il s’agit alors de la cellulite adipeuse. Celle-ci désigne une accumulation de cellules dans le tissu graisseux situé au niveau de l’hypoderme (l’une des trois couches de la peau avec l’épiderme et le derme).
La cellulite adipeuse est tout particulièrement visible lorsque l’on pince légèrement la peau. Malgré une certaine souplesse, cette dernière laisse apparaître une apparence bosselée et irrégulière appelée communément peau d’orange.
Comment se constitue la culotte de cheval ?
Les causes de la culotte de cheval sont nombreuses :
- Avant toute chose il faut savoir que la culotte de cheval peut être héréditaire
- Elle peut apparaitre au cours des différentes étapes de vie chez la femme: adolescence, grossesse, ménopause.
- Une alimentation peu équilibrée et une mauvaise hygiène de vie peuvent également accentuer la culotte de cheval.
Visuellement, la culotte de cheval correspond à une accentuation de la courbe située entre la hanche et le haut de la cuisse. Il ne faut pas confondre culotte de cheval et cellulite ou culotte de cheval et relâchement cutané.
Certaines femmes sont-elles plus touchées que d’autres ?
La culotte de cheval est en grande partie héréditaire. Faire attention à sa ligne et adopter une hygiène de vie très stricte grâce à une alimentation équilibrée et une activité physique journalière, entre autres, n’évite donc pas nécessairement ce développement excessif des cellules adipeuses localisées au niveau des hanches.
Toutefois, certains facteurs peuvent constituer un risque supplémentaire :
- une alimentation peu équilibrée, trop riche en sucres et en gras (sauces, graisses cuites et graisses saturées, boissons gazeuses, viandes grasses, etc.) ;
- une vie sédentaire. Pour favoriser un déstockage des graisses, les sports d’endurance sont idéaux (natation, course, vélo ou encore marche rapide) ;
- une accumulation de régimes successifs, dits « yo-yo », entraînant généralement un poids variable ;
- une consommation excessive de tabac et d’alcool.