Samedi 30 octobre dernier, Brenda Biya s’est encore exercée à une séance de questions-réponses, sur Instagram. Au cours de cette sortie sur le réseau social, la fille unique du couple présidentiel camerounais a fait de troublantes révélations, notamment, sur son entrée à l’ENAM, durant l’année académique 2017-2018.
Alors que l’affaire de sa fameuse et improbable grossesse continue par faire polémique, Brenda Biya fait, à nouveau, une descente sur les réseaux sociaux. La fille chérie du couple présidentiel a fait des révélations croustillantes sur la manière, dont elle est entrée à l’Ecole nationale d’administration et de magistrature (ENAM), durant l’année académique 2017-2018. Selon Brenda, son accession à cette prestigieuse école, qui a pour vocation de former les futurs cadres de l’administration, n’a pas été faite dans les règles de l’art, c’est-à-dire qu’elle y a été contrainte, affirme-t-elle. D’ailleurs, elle a fréquenté l’ENAM avec son frère aîné, Junior.
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La fille unique de Paul et Chantal Biya, depuis 2017, a eu « bouche cousue » sur ce dossier, et c’est seulement maintenant, confie-t-elle, qu’elle a eu le courage et la lucidité d’en parler avec ses abonnés Instagram, entre autres. «C’est ainsi que les choses se sont passées. On m’a même envoyé des « amis », pour pouvoir m’influencer à faire Enam, alors que je n’en avais pas envie. Mais comme eux ils veulent njoum (enter, Ndlr) dedans, c’est Brenda qu’on manipule. Dites-moi encore si la vie est facile. Bonne nuit», a-t-elle confié, comme pour dire qu’on lui avait mis la pression, pour faire ce qui n’était pas son choix.
Aux dernières nouvelles, juste après sa formation à l’ENAM, Brenda est partie vivre en Suisse, où elle serait devenue une femme d’affaires prospère.
La fille des Biya, à en croire des sources, serait plutôt encline au monde des affaires, au détriment du carré administratif, comme l’auraient souhaité ses ascendants. Brenda laissait entende, il y a quelques mois, qu’elle projetait la création de sa propre boîte, avec pour dénomination, «Bree Culture Inc Shopping». Cette structure, domiciliée sur le sol américain, ferait dans la commercialisation de perruques et de salons artisanaux.