Franck Komenan est un jeune coiffeur ivoirien dont la réputation a récemment été entachée par des allégations de pratiques mystiques. Il est connu pour sa mission spéciale, qui consiste à coiffer les malades mentaux, devenant ainsi le coiffeur des fous. Cependant, des rumeurs ont commencé à circuler selon lesquelles il utiliserait les cheveux coupés de ses clients pour des pratiques occultes.
Franck Komenan, le coiffeur est soupçonné d’utiliser les cheveux des fous pour des pratiques occultes. Ces accusations ont pris de l’ampleur avec la diffusion de ses vidéos sur les réseaux sociaux, suscitant des commentaires divers et attirant l’attention des médias. Les internautes se sont interrogés sur la nature réelle de son activité et ont exprimé leur inquiétude quant aux prétendues pratiques mystiques associées aux cheveux de ses « frères » fous.
Pour dissiper toute ambiguïté, Franck Komenan a récemment été invité sur le plateau de l’émission « PPLK » pour donner sa version des faits. « Je n’utilise pas les cheveux des fous. Je ne touche même pas à leurs cheveux, je les laisse là et parfois eux-mêmes… », a clarifié le coiffeur des fous lors de cette interview.
Franck Komenan a ainsi réfuté catégoriquement l’accusation selon laquelle il utiliserait les cheveux coupés de ses clients dans des pratiques mystiques. Il a également ajouté qu’il respecte le choix de ses clients et ne porte pas de jugement sur leur état mental. Son objectif principal est de leur offrir une coiffure soignée et un moment de dignité, afin d’aider à leur réinsertion dans la société.
Une propostion indécente
Cependant, il a admis avoir été sollicité par un inconnu qui lui avait demandé de fournir les cheveux d’un de ses clients fous, prétendument pour une utilisation liée à une maladie spécifique.
Face à cette demande, Franck Komenan a réagi de manière responsable et a refusé catégoriquement de s’impliquer dans quelque chose qui pourrait nuire à ses clients. Il soutient que ses réalisations professionnelles sont basées sur l’éthique et le respect de la dignité humaine.