Une femme ghanéenne, identifiée sous le nom de Serwaa Broni, vivant au Canada, a fait des révélations glaçantes sur le président Nana Akufo-Addo, sur Facebook le lundi 25 octobre 2021. Elle a accusé le président de lui avoir causé de traumatisme.
Serwaa Broni, une femme ghanéenne, résidant au Canada, a fait des déclarations qui donnent froid dans le dos sur le président Nana Akufo-Addo sur les réseaux sociaux. En effet, au cours d’une live session sur Facebook le lundi 25 octobre 2021, elle a accusé le président de lui avoir causé de détresse émotionnelle. A en croire cette dernière, elle a rencontré le président Nana Akufo-Addo pour la première fois qu’il ne remporte les élections de 2016 et devenir président.
Puis après son arrivée au pouvoir en 2017, les deux se sont à nouveau rencontrés au cours d’un événement et ont alors commencé à communiquer. Grâce à leur communication, elle a réalisé qu’Akufo-Addo voulait avoir une liaison avec elle, mais ce qu’elle a poliment refusé. Malgré cela, elle a quand même gardé contact avec le président, même à son retour au Canada.
Balade en jet présidentiel
Après un bout de temps et du retour au Ghana, Serwaa a reçu une invitation du président qu’elle a rejoint lors d’un voyage à Kumasi dans sa tentative de la courtiser. Ils étaient à bord du jet présidentiel avec d’autres personnes pour à destination pour Kumasi, pour des funérailles.
De retour à Accra, Serwaa a déclaré avoir publié une photo d’elle dans le jet présidentiel sur Facebook. Et malheureusement, l’image d’Akufo-Addo se reflétant dans un miroir est sortie dedans. Elle a donc reçu l’ordre de retirer immédiatement la photo.
Selon cette dernière, après le retrait de la photo, le président Nana Akufo-Addo aurait continué à la harceler, afin qu’elle apporte son téléphone pour des vérifications.
N’ayant donc pas apprécié cette idée, elle s’y est opposée. Ce qui a donc détérioré sa relation avec le président. Celui-ci aurait donc commencé à la menacer. Ce qui a abouti à un vol en 2019 qui, selon Serwaa, a été «organisé» par des agents de la sécurité nationale juste pour obtenir son téléphone et d’autres gadgets dans le but désespéré d’effacer toute trace de communication entre elle et le président. L’épisode de «vol», a ajouté Serwaa, lui avait causé un trouble de stress post-traumatique qu’elle traite toujours.