Ancien joueur brésilien et légende du Real Madrid et de l’Inter Milan, Ronaldo Nazario a servi sous les ordres de plusieurs entraineurs au cours de sa carrière. Parmi eux, l’argentin Hector Cuper, actuel sélectionneur de la RDC, dont le Brésilien garde un très mauvais souvenir.
Surnommé Il Fenomeno, Ronaldo Nazario est incontestablement l’un des meilleurs joueurs de l’histoire de football. En sélection comme en club, le buteur brésilien a excellé dans toutes les équipes où il a évolué. Toutes, sauf l’Inter Milan où son passage chez les Nerazzurri a terminé en queue de poisson.
Actuellement président du club espagnol de la Real Valladolid, le Brésilien est revenu sur son passage dans le club italien. Dans une interview accordée à Spor TV, le Champion du monde 2002 a expliqué que son mauvais rendement à l’Inter est dû en partie à cause de son entraîneur de l’époque, Hector Cuper, actuel sélectionneur de la RDC.
«Mon histoire à l’Inter s’est mal terminée à cause de lui. C’est le pire entraîneur que j’aie jamais eu dans ma carrière. Mon histoire à l’Inter s’est mal terminée à cause de lui», a d’abord déclaré Ronaldo Nazario.
«Il a continué à les entraîner, peut-être qu’il a le meilleur agent du monde. Je me remettais d’une opération et je voulais jouer, mais notre relation n’était pas bonne. Je suis allé demander au président [Massimo Moratti] de choisir entre moi et lui. En fin de compte, je suis allé jouer pour une équipe merveilleuse comme le Real Madrid, mais je peux dire que Cuper était le pire entraîneur que j’aie jamais eu dans ma carrière », a raconté l’ex-Madrilène.
Des propos qui ne devraient surement pas plaire au technicien argentin, lui qui prépare actuellement les éliminatoires de la coupe du monde 2022 avec la RDC. Les Diables Rouges ont d’ailleurs décroché ce mardi, leur première victoire dans cette phase qualificative, tombeurs de Madagascar (2-0) à Kinshasa. Un succès précieux qui permet aux Congolais de prendre la deuxième place dans le groupe J derrière le Bénin, qui a battu la Tanzanie (0-1) dans l’autre rencontre de cette poule.
Les diables rouges ? Plutôt les léopards.