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AccueilNews - InfosPolitique"Il faut qu'on discute de l'après 2026 avec monsieur Talon", Expédit Ologou

« Il faut qu’on discute de l’après 2026 avec monsieur Talon », Expédit Ologou

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BIIC

Le politologue Expédit Ologou est préoccupé des élections générales de 2026 et de l’après midi du président Patrice Talon. Invité à une table ronde virtuelle initiée par le think tank Wathi en partenariat avec la Fondation Konrad Adenauer sur les réformes électorales et perspectives politiques au Bénin, il estime que la question mérite d’être débattue avec le chef de l’État.

Expédit Ologou recommande à Patrice Talon et aux Béninois de réfléchir dès maintenant à l’après 2026, exprimant son inquiétude pour l’avenir et suggérant un dialogue public et franc.

« Il faut qu’on discute de l’après 2026 avec monsieur Talon. On doit en débattre, on doit en discuter», a martelé le politologue béninois, qui préside le think tank Civic academy for Africa’s future (Ciaaf).

Selon lui, les situations politiques dramatiques observées dans certains pays de la sous région sont les conséquences d’une mauvaise transition de régime. Au regard de la crise politique actuelle, il estime que ce débat est nécessaire pour que le Bénin ne soit point cité parmi les pays qui sombrent après le second mandat d’un président de la république.

Pour Expédit Ologou rapporté par Banouto, il ne sera pas facile de convaincre le président Patrice Talon d’ouvrir ce dialogue car il n’est pas du genre à convaincre quand il a une idée derrière la tête.

« Les expériences récentes du pays ont montré que la plupart des acteurs n’ont pas réussi à le convaincre de ses idées », a-t-il déclaré. Il faut alors « inciter et encourager » le président Patrice Talon à dialoguer.

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Pour vaincre cette résistance, chaque béninois là où il se trouve doit s’engager dans ce projet ; celui d’ouvrir le débat. Pour lui, les problèmes actuels ne sont pas que électoraux mais aussi sociaux.

Pour le politologue, il ne s’agira pas de rassurer le chef de l’État mais de l’amener à voir et à comprendre qu’après ses deux mandats, la vie ne s’arrête pas au Bénin.

A croire l’ancien journaliste, le débat public sur l’après Talon, un débat fait avec lui est cecessaire pour le salut du Bénin.

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