Live logo
Live logo
AccueilNews - InfosSociétéMali: Amnesty International confirme la mort de civils à  Inadjatafane

Mali: Amnesty International confirme la mort de civils à  Inadjatafane

- Publicité-

Au Mali, Amnesty International confirme que des civils ont été tués lors des frappes de drones menées par l’armée malienne le 21 octobre dans la localité d’Inadjatafane, région de Tombouctou.

Selon l’enquête d’Amnesty International, les frappes ont blessé une quinzaine de personnes. Plusieurs personnes terrifiés ont préféré se réfugier en brousse plutôt que de se rendre dans un centre de santé.

En effet, l’ONG demande aux autorités maliennes de transition de « mener une enquête efficace et transparente », bien qu’elle soit sceptique.

Par ailleurs, Amnesty International mentionne d’autres incidents similaires, notamment à Amasrakad, dans la région de Gao, où treize civils, dont sept enfants, ont été tués lors d’une frappe de drone le 17 mars, et à Douna, où quatorze civils, dont onze enfants, ont péri six jours plus tard.

LAISSER UN COMMENTAIRE

S'il vous plaît entrez votre commentaire!
S'il vous plaît entrez votre nom ici
Captcha verification failed!
Le score de l'utilisateur captcha a échoué. Contactez nous s'il vous plait!
Bénin

Bénin: création de la Société d’Exploitation du Complexe hôtelier de l’Atlantique S.A.

Bénin

Bénin: les propriétaires impactés par le projet port de pêche de Cotonou bientôt indemnisés

Bénin

Bénin: modification en vue du statut des magistrats de la cour suprême et de la cour des comptes

Tchad

Tchad: Ali Kolotou Tchaïmi prend la tête de l’Assemblée nationale

Bénin

Bénin: compte rendu intégral du conseil des ministres du mercredi 05 février 2025

Bénin

Bénin : qui est Brice Kokou Allowanou, nouveau Directeur général de la Police républicaine ?

Bénin

Bénin: Kokou Brice Allowanou remplace Soumaïla Yaya à la tête de la Police républicaine

Monde

États-Unis: Trump renforce la pression sur l’Iran pour empêcher l’acquisition de l’arme nucléaire

Bénin

Bénin: une mosquée fermée et un imam suspendu à Savè

RD Congo

RDC : Jean-Jacques Wondo, condamné à mort, libéré pour raisons médicales