Florence Owanogo, une femme de 65 ans qui a travaillé dans les rues du Royaume-Uni pendant plus de 25 ans s’est retrouvée sans abri après son retour au Nigéria. Pour cause, elle découvre que son locataire a vendu sa maison.
La triste nouvelle a été partagée par un utilisateur de Twitter identifié sous le nom de Zarma sur la plateforme de microblogging qui est visiblement inquiet de l’état déplorable actuel de la femme. Selon le jeune homme qui a partagé l’histoire sur Twitter, il a plus tôt confondu la femme à une handicapée mentale.
Mais après un suivi, il a découvert qu’elle est saine d’esprit et seulement sans abri à cause de la méchanceté de son locataire qui s’est enfui et n’a pas encore été retrouvé.
«Â J’ai vu cette femme hier, à Festac, sur la 5th avenue près de la route 51. Je l’ai prise pour une folle, mais quelqu’un m’a dit qu’elle n’était pas folle. Je suis allé la voir et elle a commencé à me raconter son histoire. Elle a été rapatriée du Royaume-Uni et son locataire a vendu sa maison, elle a signalé l’affaire à la police, mais rien n’a été fait. J’ai vraiment pitié d’elle parce que sa situation nécessite une attention sérieuse, j’ai donc décidé de prendre son numéro et partager son histoire sur les réseaux sociaux. » a-t-il écrit.
«Â Elle s’appelle Florence Owanogo, 65 ans. Toute personne désireuse de l’aider doit se rendre au Festac 5th Avenue, où elle passe ses nuits, et l’adresse de sa maison qui a été vendue est la maison 23 M close 5th Avenue. Elle a passé 25 ans au Royaume-Uni à se battre, imaginez un peu ce genre de méchanceté. Je lui ai dit madame, tout ce que je peux faire pour vous, c’est de partager votre histoire sur les médias sociaux, nous pourrions trouver quelqu’un qui est prêt à l’aider. », a-t-il ajouté dans une série de tweets. L’information fait le chou gras des réseaux et suscite une avalanche de réactions sur la toile. Plusieurs personnalités ont décidé de se renseigner davantage sur le sujet afin de voir dans quelle mesure apporter leur aide à la vielle dame qui serait victime de la méchanceté de son locataire.