Le hoquet, accompagné souvent de toux d’une personne malade et dans le coma, est parfois signe annonciateur des derniers moments de cette dernière ; autrement dit elle serait en train de rendre l’âme. Claude Djankaki nous dévoile une recette simple, mais très méconnue du grand public pour sauver ce malade.
Le hoquet est dû à une contraction involontaire, spasmodique et coordonnée de tous les muscles inspiratoires (diaphragme et muscles intercostaux), associée à une fermeture de la glotte. Il se traduit par des secousses répétitives parfois bruyantes.
Dans le cas d’une personne malade, dans le coma, il pourrait parfois s’agit des derniers soubresauts de cette dernière pour rendre l’âme.
Pour alors donner une chance de survie à un tel malade, Claude Djankaki a levé un coin de voile sur des astuces et remèdes médico-magique de grand-mère. A l’en croire, lorsque vous êtes en salle d’hospitalisations avec un parent ou un proche, essayez d’avoir sur vous un peu de Gari sôhui (farine de manioc très fin de type Savalou) et une bouteille contenant l’eau de coco non mûr, communément en langue Fongbé « agondrou » à côté.
Dès que ce dernier entame une toux répétitive suivie de hoquet, délayez juste un peu du Gari fin d’à peine un sachet de 25 fr, avec l’eau de coco non mûr et donnez lui à boire.
Par ailleurs, l’état d’un malade à transporter d’urgence à l’hôpital vous inquiète pour le trajet à faire ? Ne vous inquiétez plus, même si vous devez quitter le nord pour le sud, pas de panique. Dans ce cas, attachez une plante entière de Hlinwé (philantus amarus) à la main gauche du malade. Ce dernier ne rendra jamais l’âme en cours de route.