Impliquée dans une affaire de diffusion de s3xtape compromettante sur les réseaux sociaux, une étudiante de l’université protestante au Congo a été définitivement exclue de son école, lundi 13 juin 2022.
Au Congo, la diffusion de s3xtape ou vidéo obscène devient de plus en plus le quotidien de la jeunesse. Il y a quelques jours, des étudiantes de l’Université Protestante au Congo(UPC) et l’Inistitut Superieur Pedagogique de la Gombé (ISP Gombé) se sont démarquées du lot en diffusant des vidéos compromettantes.
En effet, dans l’une des vidéos, une étudiante de l’UPC s’est affichée en train de se masturber seule dans sa chambre tout en regardant consciemment dans la caméra de son téléphone. Malheureusement pour elle, la vidéo fait le choux gras des réseaux sociaux.
La deuxième s3xtape est digne d’une scène pornographique. Cette fois ci, c’est une étudiante de l’ISP Gombe qui est en plein ébat s3xuel avec un homme dont le visage n’est pas visible dans la vidéo.
Une étudiante exclue définitivement de l’UPC
Alors que les s3xtapes suscitent de vives indignations, l’université protestante au Congo a pris la décision radicale d’exclure définitivement de son école, l’étudiante qui se masturbait à visage découvert.
Dans une décision en date du lundi 13 juin 2022, le recteur de l’université protestante au Congo, le professeur Monseigneur Daniel Ngoy Beliya a annoncé l’exclusion jusqu’à nouvel ordre de Ntambwa Kinkela Edith, Étudiante en deuxième année de graduat en médecine. La décision précise que, conformément à l’article 2 du règlement d’ordre intérieur de l’UPC, le secrétaire général de l’université Protestante au Congo, est chargé de l’exécution de la présente décision qui prend effet à la date de sa signature.
A noter ce n’est pas le premier scandale s3xuel enregistré à l’Université Protestante au Congo. Des enseignants ont également été à la Une des médias il y a quelques années pour une affaire de s3xtape.