Theresia Fischer a gagné plus d’une dizaine de centimètres grâce à un allongement osseux. Une lourde opération qui lui a coûté 146.000 euros.
Elle est passée de 1,70 m à 1,84 m. Dans un post publié fin mars et devenu depuis viral, Theresia Fischer explique avoir gagné 14 cm après avoir subi volontairement deux opérations pour allonger ses jambes. Qui mesurent désormais 116 cm. Sans talon haut. L’influenceuse allemande de 31 ans pose fièrement, on ne peut plus satisfaite d’annoncer à ses abonnés la fin d’un processus qui aura duré six ans. Elle assure n’avoir désormais plus de douleur et se sentir enfin bien dans son corps.
D’après Madame Figaro, Theresia Fischer avait expliqué en 2019 avoir été harcelée à cause de sa prétendue petite taille après avoir participé à un concours de mannequin télévisé. Un traumatisme visiblement, qui l’a poussée à entreprendre une chirurgie lourde et risquée. Selon nos confrères, cette intervention “consiste à scier l’os du fémur en deux pour y implanter des tiges télescopiques des deux côtés. Ces dernières sont ensuite rallongées progressivement, millimètre par millimètre, jusqu’à ce que l’os se reforme naturellement”.
Dans 20Minutes en janvier dernier, la jeune femme révélait avoir eu des complications : une infection sous la peau qui l’a obligée à passer à nouveau entre les mains des chirurgiens. “Le risque, avec ces opérations, c’est que les membres, les vaisseaux, les nerfs, les muscles et les ligaments ne suivent pas. Ce n’est quand même pas anodin, c’est une opération extrêmement lourde”, assure Catherine Bergeret-Galley, la présidente de la Société française des chirurgiens esthétiques plasticiens interrogée par Le Parisien.
D’après nos confrères, Theresia Fischer a dépensé 146 000 euros pour obtenir la silhouette de ses rêves. Sous son post Instagram, qui a généré un torrent de réactions, bon nombre d’internautes se disent choqués par sa décision et celle des médecins qui ont accepté de l’opérer. “De telles publications sont la raison pour laquelle il ne faut pas autoriser les enfants et adolescents à accéder à internet”, estime l’un d’eux